A partir d’un concept prospectif crée par JC CLAIRVIEL en 2010, le « facteur phi » à l’origine s’est intéressé aux marchés financiers avec une approche nouvelle : quelle logique à moyen ou court terme anime les acteurs économiques et quelles conséquences cela peut il avoir pour les entreprises concernées, donc pour les investisseurs « values » en actions de ces sociétés, ceux qui s’intéressent aux fondamentaux et non aux écarts volatils liés aux anomalies instantanées du marché? En 2011, il a donc procédé et publié son étude à propos de la célèbre entreprise LVMH, dont il annonçait les perspectives de cours à 10 ans qui se sont avérées étonnamment justes en 2021, malgré la crise sanitaire qui sévissait à cette époque. Le concept s’est beaucoup enrichi depuis avec les apports de l’I.A. pour évaluer les facteurs exogènes des projets (sous facteurs oméga + et oméga -) et permettre des évaluations ou des diagnostics beaucoup plus sûrs et rapides. Qu’il s’agisse de prévoir à un horizon raisonnable la fréquentation d’un aéroport, d’un centre commercial ou les coûts de fonctionnement d’une centrale électrique par géothermie, qu’il faille évaluer l’impact de mesures budgétaires incitatives ou les conséquences d’un relèvement de taxes à 5 ans, OMEGAPHI, le labo macroéco de SORBONNE INTERNATIONALE est l’outil de référence des Administrateurs civils et de leurs Conseils.